Pour le Conseil National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF), les quatre axes à privilégier sont : éviter la contamination des femmes enceintes par le virus pandémique de la grippe A (suivi de la grossesse des femmes enceintes non grippées par des sages-femmes jusqu’à la 35e semaine de grossesse ; respectetr les règles d’hygiène universelles ; organiser les services de gynécologie-obstétrique et de néonatologie selon une gradation pour réduire les risques de contamination ; réduire la durée d’hospitalisation avec suivi à domicile) ; Protéger le nouveau-né de la contamination par le virus de la grippe A ; Ne pas méconnaître les diagnostics différentiels potentiellement graves chez la femme enceinte (listériose, pyélonéphrite, ...) et le nouveau-né ou le nourrisson (méningite, pyélonéphrite, ...) ; Traiter au plus tôt les femmes exposées et les femmes enceintes infectées par le virus de la grippe A.
Les femmes enceintes non grippées devront être suivies prioritairement au cabinet ou à domicile par les gynécologues médicaux, les gynécologues obstétriciens, les sages femmes libérales ou exerçant en PMI, les médecins généralistes libéraux. Pour les grossesses pathologiques, la nécessité d’une hospitalisation sera appréciée au cas par cas en fonction de l’état clinique de la patiente et des risques encourus.
Les femmes enceintes non grippées devront être suivies prioritairement au cabinet ou à domicile par les gynécologues médicaux, les gynécologues obstétriciens, les sages femmes libérales ou exerçant en PMI, les médecins généralistes libéraux. Pour les grossesses pathologiques, la nécessité d’une hospitalisation sera appréciée au cas par cas en fonction de l’état clinique de la patiente et des risques encourus.